S’il y a une chose que je regrette, c’est de ne jamais avoir pris le temps d’apprendre à jouer d’un instrument.
La musique a une part importante dans ma vie. J’en écoute autant que possible quand j’écris. Je me crée des playlists. Et une chanson découverte au hasard peut m’inspirer une idée qui n’a absolument aucun lien avec ses paroles.
Ce que certaines mélodies éveillent en moi est inexplicable. Chaque note est un mot qui va raconter une histoire en fonction de la place qu’on lui donne dans une partition. J’ai toujours pensé que les musiciens étaient des poètes.
J’ai découvert il y a peu de temps que la seule chose vraiment efficace pour me faire passer d’une humeur maussade à un autre état était la musique. Quelle qu’elle soit. Dix petites minutes pour aller mieux, dix petites minutes, isolée du monde, pour me retrouver.
J’adore découvrir de nouveaux musiciens, de nouveaux chanteurs, de nouveaux groupes. Dans un temps lointain, c’était grâce aux CD que l’on pouvait écouter à la Fnac, maintenant, c’est grâce aux plateformes de streaming. Je parle bien de découverte, car depuis peu, j’achète à nouveau des disques. Non, pas des CD comme avant, mais des vinyles. Je prends plaisir à les poser délicatement sur la platine, à les traiter comme les objets précieux qu’ils sont. En vieillissant, je me vintage en quelque sorte. Et j’aime cela.
Si vous avez envie de découvrir quelques unes de mes playlists publiques sur Spotify, c’est par ICI.
Mes billets d’humeur sont des posts écrits sans plan, sans relecture, sans filtre. J’y mets les mots qui me viennent, sans fioriture. N’y cherchez pas un exercice de style, c’est juste moi.
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